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Les entreprises françaises, surtout familiales, cherchent peu à conquérir d’autres marchés en dehors de l’hexagone. Voici quelques conseils pour enclencher une nouvelle dynamique parfois nécessaire pour devenir une ETI :

  • Avoir de l’ambition. En premier lieu, c’est l’indispensable prérequis pour toute croissance externe, cela veut dire, oser s’associer à plus fort que soi, plus innovant, repenser son modèle si besoin. Il faut sortir de sa zone de confort pour se développer. Tout le monde y gagnera.
  • Être en veille. Il faut en permanence étudier et sonder son marché pour savoir quelle opération d’acquisition pourrait être intéressante. Les entreprises les plus prometteuses ne sont pas forcément à vendre, reste donc à être prêt lorsque le moment est venu de dégainer une offre.
  • Être généreux. Si les Américains nous devancent régulièrement dans les acquisitions d’entreprises, c’est qu’ils savent mettre la main au portefeuille et valoriser correctement une entreprise. Il faut parfois investir lourdement avant de retirer les bénéfices d’une opération mais le risque en vaut la chandelle.
  • Dialoguer. Les opérations d’acquisition sont parfois compliquées car elles engendrent des tensions et des inquiétudes dans les équipes en place. Un seul mot d’ordre : dialoguer, en toute transparence de l’opération et ses enjeux. Le capital humain ne doit jamais être mis de côté, il participe d’ailleurs de la valorisation de l’entreprise.
  • Intégrer. La clé finale d’une bonne croissance externe est de savoir accueillir les nouvelles équipes en prenant en considération leurs forces et leur besoin d’autonomie. Il ne doit pas être question d’absorber l’entité nouvelle mais de l’accueillir, pour qu’elle révèle tout le potentiel qui l’a rendue désirable.